[BIOGRAPHIE] Terrence Malick (2nd partie : 1979-1998)

Terrence Malick (Photo by Gary Miller/FilmMagic)

Moins d’une dizaine de films en plus de quarante ans de carrière, un hiatus de vingt ans entre Days of Heaven (1978) et The Thin Red Line (1998), trois interviews accordées, des films teintés de philosophie transcendantaliste et heideggérienne, une absence totale de la scène médiatique, autant d’éléments qui concourent à faire de Terrence Malick un cinéaste aussi rare que mystérieux. Celui qu’on a souvent comparé à Stanley Kubrick n’a d’ailleurs laissé échapper que très peu d’informations le concernant. Pourtant, nombre de fragments biographiques, quelquefois contradictoires, ont été rapportés par ses plus proches collaborateurs et permettent d’esquisser les grandes lignes d’existence du réalisateur de The Tree of Life. Tentative de synthèse biographique. 

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[BIOGRAPHIE] Terrence Malick (1ère partie : 1943-1978)

Terrence Malick

Terrence Malick

Moins d’une dizaine de films en plus de quarante ans de carrière, un hiatus de vingt ans entre Days of Heaven (1978) et The Thin Red Line (1998), trois interviews accordées, des films teintés de philosophie transcendantaliste et heideggérienne, une absence totale de la scène médiatique, autant d’éléments qui concourent à faire de Terrence Malick un cinéaste aussi rare que mystérieux. Celui qu’on a souvent comparé à Stanley Kubrick n’a d’ailleurs laissé échapper que très peu d’informations le concernant. Pourtant, nombre de fragments biographiques, quelquefois contradictoires, ont été rapportés par ses plus proches collaborateurs et permettent d’esquisser les grandes lignes d’existence du réalisateur de The Tree of Life. Tentative de synthèse biographique. 

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[CRITIQUE] « Knight of cups » de Terrence Malick

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Présenté en compétition officielle lors de la dernière Berlinale, Knight of Cups, septième long-métrage de Terrence Malick, met en scène Rick (Christian Bale), un scénariste hollywoodien en proie à des turpitudes amoureuses, professionnelles et existentielles. Poème cinématographique, envolée métaphysique, l’opus dissémine derrière l’apparent déjà-vu de son formalisme et de son éloge de la lumière une critique acerbe de l’univers hollywoodien.

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